1 atelier du regard à 200

Vous êtes nombreux à nous interroger sur la faisabilité d’un Atelier du Regard avec 200, 600, voire 1000 personnes… 


Et oui, c’est possible !


Nous avons renouvelé l’expérience pour l’ouverture d’un séminaire organisé par un groupe d’Assurance.

Afin de remercier et de fidéliser leurs 200 meilleurs conseillers en gestion de patrimoine, le groupe organise chaque année, deux journées de rencontres.

Pour cette nouvelle édition autour du thème : « Intégrer la dimension humaine pour être plus performant : savoir s’entourer et collaborer », les organisateurs ont voulu innover et créer l’effet de surprise en proposant en ouverture, un Atelier du Regard.

Nous avions choisi avec les équipes organisatrices, l’œuvre du Flamand Quentin Metsys, Le prêteur et sa femme.

L’œuvre est projetée sur écran dans le noir dans l’une des très belles salles de l’hôtel où 200 participants attentifs et curieux attendent de découvrir l’intervention de Stéphane Coviaux.

Après une introduction laissant place au suspense et à la surprise, Stéphane annonce la couleur : 3 minutes de silence devant le tableau.

Pas un bruit, pas un mot, juste un profond silence où chacun prend le temps de contempler l’œuvre.  D’une grande richesse, à la fois profonde, simple et non dénuée d’humour, l’œuvre ouvre à de multiples hypothèses d’interprétation. Elle est aussi un clin d’œil à la profession des participants.

L’ice-breaker généralement situé en début de séminaire permet de susciter les échanges entre les participants et installe une atmosphère conviviale. Un bon départ est souvent la promesse d’un évènement réussi.  L’objectif est de mobiliser l’attention et l’énergie des participants. Le module peut aussi intervenir en cours de séminaire pour offrir un moment de respiration.


Constance Castaing